Suite du résumé des épisodes précédents, le voyage long agrémenté de quelques péripéties plus ou moins agréables :
voyage à des places séparées entre Lyon et Orly, (cette manie qu'ont les passagers d'enregistrer leur vol à l'avance et cette manie que j'ai de vouloir faire preuve de sobriétITé, sobriété informatique et télécommunications en réduisant mon usage de ce type de service et choisissant de s'enregistrer à l'aéroport)
liaison entre les différents terminaux à Orly pour laquelle on a rencontré les premiers voyageurs qui partaient aussi pour un poste d'enseignant en Polynésie,
le système d'acheminement des bagages qui sature et ralentit l'enregistrement,
et surtout un voyageur qui décide de ne pas monter dans l'avion au départ d'Orly et pour lequel les bagages doivent être retirés, provoquant par là un retard conséquent au décollage,
l'escale à San Francisco (dont on n'a vu que des lumières et les couloirs de l'aéroport) où il faut faire de multiples queues pour un simple transit (cependant facilité par des files spécifiques pour essayer de compenser le retard pris au départ)
Heureusement, le billet sur le vol de la compagnie French bee avait été pris auprès de la compagnie air Caraïbes et nous avons donc bénéficié de prestations plus complètes dont des repas (imaginez un long trajet sans restauration) et un kit de confort avec couverture, masque pour les yeux, écouteurs pour l'appareil multimédia de chaque siège.
Nous sommes enfin arrivés à Tahiti - Papeete accueillis en musique à l'aéroport et colliers de fleurs de tiare par les services de l'éducation de Polynésie.
Les bagages ont été mis à la consigne en attente du vol vers Hiva Oa 2 jours plus tard et nous avons gardé dans nos sacs à dos le minimum nécessaire pour cette courte période.
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